Ce qu’on aimerait faire pendant notre voyage : profiter d’être en bateau pour partir dans des endroits peu accessibles et aller à la rencontre des habitants en partageant leur quotidien.
C’est chose faite au Siné Saloum. Ca a été pour nous une super 1ère expérience. Voici quelques interviews d’habitants. On leur a posé des questions sur leur adaptation au changement environnemental et économique.
Le son n’est pas toujours au top. Depuis, on s’est acheté un peu de matos pour la prise de son. Dès que possible, nous mettrons un sous-titrage.
partir dans des endroits peu accessibles...
Souleyman, pêcheur de crevettes à Djirnda
Voici une interview intéressante de notre point de vue. Souleyman est pécheur à Djirnda. ll nous raconte qu’il a adapté son mode de pèche depuis qu’il y a moins de poissons, sa vie est très difficile, il a voulu partir en Europe, comme beaucoup de jeunes hommes du village. On a pris conscience que l’immigration était un sujet primordial dans ces villages très vulnérables.
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Alimatou, une femme au service des femmes
On l’avait contacté en début d’année, avant notre départ. Alimatou est une femme incroyable. Elle œuvre en permanence pour la préservation de l’environnement, sur le travail des femmes et la lutte contre le changement climatique. On a eu la chance de la rencontrer et de lui poser quelques questions. Elle nous explique l’origine du peuple du Siné saloum, l’impact de l’économie de marché au lieu de l’économie de subsidence et nous présente ses actions et son association. Grace à elle, nous avons pris conscience que le peuple du Siné saloum est très proche de la nature depuis son origine, que les associations doivent le prendre en compte pour réussir les projets en s’adaptant à leurs cultures et leurs codes.
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Le directeur adjoint du collège de Djirnda
Le directeur adjoint nous parle de la digue construite autour du village il y a quelques années. Elle est aujourd’hui en très mauvaise état. Et puis nous avions été surpris à notre arrivée à Djirnda de voir autant de déchets devant la digue. Voici donc quelques explications…
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La montée des eaux à Djirnda : pourquoi doit-on trouver une solution?
Nous avons pris conscience que tout est lié… la montée des eaux a un impact énorme sur les villages du Siné Saloum en bord de bolons (rivières), cela rend le sol très salé, ce qui rend l’agriculture compliquée mais c’est aussi la durabilité des constructions qui est remise en cause. L’eau des puits n’est plus potable. Voici un résumé en image de ce sujet complexe.
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La rencontre captivante d’une habitante d’un village en bord de mer
Nous avons eu la chance de partager nos connaissances avec une association locale Nedebay. Ils travaillent actuellement sur un projet de protection du littoral entre autres dans le village de Ngallou. Car coté océan, ça y est la mer est là! En nous promenant, nous avons rencontré une habitante. Cette femme vit seule avec ses 6 enfants. L’eau monte et a déjà détruit une partie de sa maison. Elle ne sait pas qui va l’aider et comment…
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Billy, un habitant du village de Sippo se construit une digue
Billy semble actif, ou plutot hyperactif. Il construit des loges pour touristes, cultive et élève quelques chèvres mais aussi se construit une digue pour les protéger. Cette initiative nous a semblé plutot durable, locale, simple a mettre en œuvre et pas cher. La voici en images…
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